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Cultiver en harmonie avec Gaïa (2)

Publié le 20 mars 2012 par Le Passeur

Par le Passeur.

Second volet de l’article consacré à la permaculture, et plus particulièrement la culture en buttes, voici quelques indications pratiques concernant les cultures les plus répandues. Par rapport au premier article, on précisera qu’une fois la butte réalisée, un apport local adapté à la culture plantée peut être réalisé dans les couches de surface, de même qu’un paillis abondant.

Les notions d’arrosage indiquées ici concernent des cultures traditionnelles en terre. En ce qui concerne la culture sur buttes (ou sur tumulus), une fois la butte en place, rappelons que l’arrosage devient très faible, voire nul si le « réservoir » est empli des pluies d’hiver et de début de printemps.

Quand cueillir un légume ou un fruit ?

Les fruits et légumes se cueillent tôt le matin avant la montée du soleil, à moins d’un besoin pressent où la consommation suit immédiatement la récolte.

Ceux que l’on souhaite conserver quelque temps seront récoltés trois à cinq jours après la pleine Lune, de même que les plantes condimentaires et médicinales à sécher.

L’aménagement du potager sur buttes ou en culture traditionnelle.

Afin de favoriser l’équilibre général du potager, ne le nettoyez pas trop, voire pratiquement pas, surtout pour la culture en buttes, mélangez-y des fleurs et surtout, plantez du Raifort (ou radis de cheval) aux quatre coins, qui assainira le lieu par ses émanations subtiles. Le Raifort aime un sol riche et frais et peut par ailleurs se récolter tout l’hiver comme condiment. Il possède en plus des vertus anti scorbut.

Les solanacées : un soleil chaleureux, de l’eau fraîche et du compost très, très jeune.

Tomates

Les écoles sont variées et les idées reçues fréquentes…

• Plantation en terre : en plein soleil. Le tuteurage est nécessaire mais plusieurs types de tuteurage sont possibles. L’un d’eux consiste à laisser courir le plant à l’horizontale sur un treillis peu élevé de type « Gantois », le ferraillage des dalles en béton, que l’on dispose en arceaux.

On peut également tuteurer à la verticale de plusieurs manières : sur tuteur unique séparé des autres de 60 cm, sur tuteurs reliés par deux en V inversé, sur plusieurs tuteurs reliés en arc de cercle en forme de tipi. Cette dernière méthode, par exemple sur une culture en tumulus (selon le même principe que la butte), donne sur peu d’espace une belle production, elle est donc très adaptée aux petits potagers. L’ombrage réalisé n’est pas un problème, le mûrissement se faisant par la chaleur et non par les rayons du soleil comme on le croit souvent.

En fonction des conditions climatiques, prévoir les semis le plus tôt possible et espacés dans le temps ou variés en taille, afin de bénéficier de vos tomates sur une longue période. Planter profondément et butter généreusement en cours de culture pour favoriser le chevelu racinaire.

Parmi les idées reçues sans discussion, pincer les gourmands (rameaux partant à l’intersection de deux autres) est plus que discutable. L’idée au départ est de ne pas épuiser la plante par de trop nombreuses ramifications, tout en favorisant les premiers bouquets floraux. Le problème est que tout rameau pincé, donc détruit, représente autant de fleurs et par conséquent de fruits qui ne naîtront pas. A l’arrivée on aboutit au résultat inverse de celui escompté. Pour ma part, je n’ai jamais pincé les gourmands et j’ai toujours eu de belles récoltes au feuillage plus abondant qui ainsi favorise la fraîcheur au sol.

A savoir que les tomates apprécient toutes sortes de déchets organiques non compostés à leur pied ainsi que des écorces.

Tomates séchées

Dans de bonnes conditions climatiques, au Sud par exemple, elles se récoltent jusqu’aux premières gelées, mais interrompent leur mûrissement si la température est trop faible. Dans ce cas, les tomates vertes peuvent faire de bonnes confitures.

Personnellement, je place une petite spirale de cuivre (faite avec du fil électrique rigide dénudé) sous la racine au moment du semis. En cas de maladie dite du « cul noir », assez fréquente, un apport en calcium est nécessaire, sous forme de cendre de bois par exemple ou de roche calcaire pulvérisée (Dolomie) ou mieux encore, de coquilles d’huitres pilées. Mélanger un peu de cendre à la terre au moment du semis n’est donc pas une mauvaise idée.

A noter que les tomates de petite taille (tomates cerise) sont plus résistantes aux maladies que les autres car proches des tomates sauvages. Elles sont par ailleurs succulentes et sont toujours un plaisir à croquer sur la plante.

• Arrosage : un gros arrosage favorisera une grosse production. C’est pourquoi la culture en butte lui est particulièrement favorable.

• Récolte : selon les variétés, de Mai à Octobre voire jusqu’aux gelées.

Pommes de terre

En voilà une qui a besoin de soleil mais aussi d’écarts prononcés de température, dans les 14° de différence entre le jour et la nuit pour produire ses tubercules. C’est pourquoi une culture bien ensoleillée en moyenne montagne lui convient parfaitement bien.

Comptez environ 5 kg de production moyenne pour une grosse pomme de terre plantée et un peu plus de 1 kg pour une petite. Un sol un peu sablonneux lui apportera la silice dont elle a besoin. Versez un bon verre de sable de rivière sous chaque plant et il saura vous en remercier.

• Plantation en terre : 30 cm entre les plants d’une même ligne – 80 cm entre les lignes.

Plantée en Décembre, la récolte se fera en Mai.

Plantée en Mars, la récolte se fera en Août.

Plantée en Juillet, la récolte se fera en Novembre.

• Arrosage : le soir uniquement si la feuille se fane quand le soleil est au zénith.

• Récolte : on les déterre lorsque la tige à séché.

Aubergines et Poivrons 

• Semis en terre : Planter en-dehors du froid, en plein soleil. Sa culture est idéale sur buttes. En culture traditionnelle, faire une fosse autour du pied pour recevoir les matières organiques et l’eau d’arrosage.

• Arrosage : espacé mais régulier et abondant en sol humifère, plus fréquent et moindre en sol dépourvu.

• Récolte : les poivrons, pour leur richesse nutritive, méritent d’attendre au moins le début de changement de couleur si ce n’est la pleine maturité. Les aubergines sont à cueillir quand elles atteignent la taille que vous désirez.

Cucurbitacées : un soleil chaleureux, de l’eau fraîche et du calcaire.

Courgettes et concombres

• Semis en terre : prévoir un diamètre d’un mètre au moins autour de la plante dont les larges feuilles demandent un peu de place. Le concombre est un grimpeur qui s’éloignera des parasites du sol par ses vrilles et donc nécessitera en plus un tuteurage de deux mètres de haut, à l’abri des vents.

• Arrosage : quotidien, de l’ordre de 7 à 10 litres par jour et par pied en cours de production en culture traditionnelle. La culture sur buttes est donc fortement recommandée.

• Récolte : le cornichon n’est rien d’autre qu’un petit concombre. Donc, le cueillir suivant l’usage, mais la digestibilité augmente avec la maturité. On peut donc cueillir à maturité – fruit jaunissant – si l’on écarte les graines et la peau pour consommer cru ou légèrement cuit.

Pour ce qui est de la courgette, il n’est pas rare d’en cueillir une par jour et de belle taille sur un même plant, sa croissance étant très rapide. Ne pas laisser un gros fruit trop longtemps sur la plante, il ne fera que durcir jusqu’à devenir immangeable, au détriment des autres.

Courges (citrouilles, potirons, etc.)

• Semis en terre : tous réclament beaucoup de soleil, d’eau et de calcium. Semer sur la ligne deux graines tous les 50 cm et écarter les lignes de 1,5 à 2 mètres.

On peut laisser courir les plants sur plusieurs mètres en les dirigeant hors du reste du potager, grimper sur une clôture ou une haie, couvrir un tas de compost, etc.

Fleur femelle (à gauche) et fleur mâle (à droite) d’une courge d’Hubbard. Noter l’ovaire à la base de la fleur femelle.

La plante comporte des fleurs mâles et des fleurs femelles : la fructification n’aura pas lieu sans rencontre des deux par le pollen. Les fleurs femelles sont reconnaissables à la présence d’un ovaire à la base de la fleur. Les fleurs mâles sont près de dix fois plus nombreuses que les fleurs femelles ! Si l’on manque d’abeilles, on peut donc favoriser soi-même la pollinisation.

• Arrosage : très régulier.

• Récolte : à maturité il se forme des filaments liégeux blancs sur le pédoncule et la couleur change d’intensité du jaune vers l’orangé. Cueillir le matin après la rosée, au sécateur. Stocker sur étagères à l’ombre mais dans un lieu ventilé et attendre six semaines avant de donner, vendre ou consommer.

Melons jaunes

Melons.

• Semis en terre : culture idéale sur buttes. Planter en plein soleil en séparant les plants de 60 cm au moins et prévoir de les laisser un peu courir. Mettre une tuile sous le melon durant sa croissance. A éloigner des concombres !

• Arrosage : en dehors de la butte, réclame de l’eau.

• Récolte : l’attache de la queue montrera des signes de détachement; dès lors, cueillir après la rosée matinale.

La diversité…

Carottes

• Semis en terre : elles aiment un sol sablonneux et se plantent en rangs serrés. Préférer les variétés au bout pointu (signature de la silice) plus proches des variétés sauvages, plutôt qu’au bout rond.

• Arrosage : éviter l’excès d’eau.

• Récolte : dès que la taille vous convient, au fil des jours.

Note : la graine de carotte est une excellente condimentaire pour les bouillons, alors, réservez quatre ou cinq beaux sujets de votre plantation pour laisser monter à graine (maturité en été). Séchez-les soigneusement et conservez-les en pots de verre.

Poireaux

• Semis en terre : plantation dense (+/- 10 à 15 cm entre les pieds; 60 à 100 pieds au mètre carré en sol très humifère) et en lignes serrées en plein soleil. C’est une culture très adaptée à la butte. Personne n’y pense, mais on peut réutiliser le poireau récolté en le coupant 4 cm au-dessus de la racine et en le replantant au ras du sol. Ou bien encore en ne l’arrachant pas au jardin mais en le coupant de même.

• Arrosage : un bon arrosage de temps en temps.

• Récolte : à la taille qui convient. Comme il est semé dense, les premières récoltes serviront d’éclaircissage.

Oignons

• Semis en terre : en plein soleil, serré, de l’ordre de 60 oignons au mètre carré, ce qui assurera un meilleur rendement. Très adapté à la butte, il apprécie un sol d’alluvions enrichi par exemple de marc de raisin.

• Arrosage : comme les poireaux, un bon arrosage de temps en temps, sans excès.

• Récolte : lorsque le feuillage se couche naturellement au sol, on peut arracher les plants et laisser sécher la plante entière sur place ou sur claies grillagées sous abri ventilé, 10 à 15 jours. Ce temps est nécessaire à la fermeture du collet avant d’enlever la « paille ».

Céleris

• Plantation en terre : plusieurs repiquages possibles dans l’année. Culture idéale en buttes. Séparer les plants de 15 à 20 cm.

• Arrosage : sa racine pivotante et profonde lui permet de larges volumes d’eau de loin en loin.

• Récolte : à cueillir feuille par feuille comme l’oseille.

Haricots blancs ou verts nains(non grimpants)

• Semis en terre : culture idéale en buttes. Grouper une poignée de 4 ou 5 graines directement en terre (poquet) et séparer les poignées de 30 à 40 cm.

• Arrosage : le soir si début de flétrissement.

• Récolte : en vert, dès que la taille vous convient. Roux, quand les gousses jaunissent. Blancs, quand les gousses sèchent, récolter en une seule fois et sécher sous abri ventilé.

Laitues 

• Semis en terre : 4 à 5 jours avant la nouvelle lune, ce qui évite que la salade ne monte rapidement en fleur. Prévoir donc un semis par mois à cette période pour une récolte régulière.

Comme la rhubarbe ou l’oseille, la salade, si elle préfère le soleil, peut se contenter de la mi-ombre. Pour ceux qui ont des sols difficiles, à noter que la Rougette de Montpellier a la réputation de ne pas monter et que la Reine des Glaces (ou Iceberg) pousse de tous temps, hiver comme été.

En automne et début d’année, pensez à planter de la mâche et tout au long de l’année, de la Roquette, dont les vertus gustatives et les apports à l’organisme sont exceptionnels.

• Arrosage : quotidien au début, régulier en suite en fonction de la croissance et des conditions.

• Récolte : dès que les « pommes » commencent à se resserrer.

Les pérennes.

Asperge 

• Plantation en terre : en Février à raison de deux pieds (griffes) au mètre carré.

• Arrosage : de sauvegarde si nécessaire en été.

Semis d’asperges

• Récolte : ne récolter que la quatrième tige afin de consolider le pied. Il s’agit donc de toujours laisser trois tiges, ce qui assurera 10 à 15 ans de vie au plant.

Artichaut

• Semis en terre :en Mars ou en Septembre, idéal sur buttes. Un pied adulte couvre 1 mètre carré environ et donne 15 fleurs par an.

• Arrosage : de sauvegarde si nécessaire en été.

• Récolte : le matin, fleur en bouton ferme, ne pas attendre pour le consommer.

Pour clore ce second volet, qui en appellera un troisième plus alchimique, je rappellerai que l’attention que l’on porte à son coin de jardin ou à son potager entretient merveilleusement la connexion à l’instant présent si indispensable au silence mental et à la sérénité. La Terre s’abreuve de notre attention consciente à elle comme elle nous emplit en retour de son immense bienveillance. Même sur un balcon en ville cette connexion se fera et ce lien indéfectible avec Gaïa nous nourrit de bien plus que les fruits que nous cueillerons.

Un potager itinérant

Enfin, pour ceux qui n’ont pas de balcon et souhaitent une certaine mobilité…

Cultiver en harmonie avec Gaïa (1) : comment créer une culture sur buttes.

Georges Donskoff est ingénieur d’agriculture (Montpellier Supagro), certifié en Permaculture et consultant et formateur en Biodynamie.  Ses prochaines formations auront lieu dans les Pyrénées Orientales en Mars et Avril 2012.  Pour tout contact, je vous transmettrai ses coordonnées.

Fraternellement,

© Le Passeur – 20 Mars 2012 – http://www.urantia-gaia.info Cet article est autorisé à la copie à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Sommes nous en train de tuer nos animaux domestiques avec les vaccins?

PostDateIcon 20 mars 2012 | PostAuthorIcon Auteur: Jo ^^

Par T. J. Dunn, Jr., DVM

Source : http://bit.ly/yb1Xpl

Les réactions vaccinales sont effrayantes. En fait, la vaccination induit des réactions qui  créent de l’anxiété, non seulement pour le propriétaire de l’animal, mais pour l’animal  et le vétérinaire.

Deux heures après que le vaccin contre la rage ait été administré le chien a été réadmis pour des démangeaisons au niveau de la tête. Ces éruptions sur la peau, appelées une réaction urticarienne, sont arrondies gonflées zones surélevées de tissus de la peau qui ont répondu localement à l’administration d’une substance à laquelle le chien est allergique.

« Réaction  urticarienne«

Le vaccin peut ne pas être efficace pour l’une des raisons suivantes :

(a) Il n’est pas à jour

(b) Il est conservé à température ambiante trop longtemps

(c) Il est mélangé avec du diluant et n’est pas administré assez rapidement

(d) La seringue est munie de résidus de contaminants de tissus

(e) L’alcool est frotté sur la peau avant la vaccination

(f) Le vaccin est exposé à la lumière du soleil, la chaleur, ou la congélation

 

Certaines marques de vaccins sont plus efficaces que d’autres.

Aucun autre fabricant de vaccin n’est en mesure de garantir que chaque animal vacciné va produire des anticorps protecteurs. Il y a un large éventail de réponses possibles à chaque vaccination.

*L’endroit de l’administration du vaccin est très important. Si le vaccin est administré dans la peau plutôt que sous la peau lorsque la voie sous-cutanée est indiquée ou si elle est donnée dans ou sous la peau lorsque la voie intramusculaire est indiquée … Le vaccin peut ne pas être efficace dans l’induction de l’immunité.  –  (Science des dommages causés par les vaccins par « Catherine O’Driscoll »)

Les études de Purdue ont également constaté que les chiens vaccinés développaient des auto-anticorps à leur propre collagène. Environ un quart de toutes les protéines dans le corps est le « collagène ». Le collagène donne une structure à notre corps, pour protéger et soutenir les tissus mous en les reliant avec le squelette. Il n’est pas étonnant que l’étude réalisée en 1997 par la « Canine Health Concern » sur 4.000 chiens ait montré un nombre élevé de chiens en développement de problèmes de mobilité peu de temps après qu’ils aient été vaccinés (noté dans mon livre 1997, Ce que les vétérinaires ne vous disent pas à propos des vaccins).

Peut-être plus inquiétant encore, les études de Purdue ont constaté que les chiens vaccinés ont développé des auto-anticorps à leur propre ADN. Avez-vous entendu sonner la sonnette d’alarme ? Avez-vous entendu la communauté scientifique demander de mettre un terme au programme de vaccination ? Non. Au lieu de cela, ils ont pointé leurs doigts en l’air, en disant que d’autres recherches étaient nécessaires pour déterminer si les vaccins pouvaient provoquer des altérations génétiques héréditaires. Pendant ce temps, les chiens des études ont trouvés de bonnes maisons, et aucun suivi à long terme n’a été effectué. À peu près au même moment, l’American Veterinary Medical Association (AVMA) associée à la TaskForce sur le sarcome félin associé à la vaccination a lancé plusieurs études pour savoir pourquoi 160.000 chats chaque année aux Etats-Unis développent un cancer terminal au point d’injection du vaccin. Le fait que pour ces chats, recevoir le vaccin induisant le cancer a été reconnu par des organismes vétérinaires du monde entier, et même le gouvernement britannique l’a reconnu à travers son Groupe de travail chargé de la tâche de la recherche sur les vaccins canins et félins. Suite aux pressions de Canine Health Concern. Que croyez-vous qu’a été l’avis du Groupe de travail AVMA, des vétérinaires, et les gouvernements ? « Continuer sur la vaccination jusqu’à ce que nous sachions pourquoi les vaccins tuent des chats, et quels chats sont les plus susceptibles de mourir. »

En Amérique, dans une tentative pour atténuer le problème, ils ont vacciné les chats dans la queue ou la jambe afin qu’ils puissent amputer lorsque le cancer apparaît. Excellents conseils si ce n’est pas votre chat parmi les centaines de milliers sur la « oops » liste.

 

Les vaccins stimulent une réponse inflammatoire !

Le mot « allergie » est synonyme de « sensibilité » et « inflammation ». Il devrait, par droits, aussi être synonyme du mot « vaccination ». C’est ce que les vaccins font : ils sensibilisent (rendre allergiques) un individu dans le processus de les forcer à développer des anticorps pour lutter contre une menace de la maladie. En d’autres termes, comme il est reconnu et accepté, dans le cadre du processus de vaccin, l’organisme réagit à l’inflammation. Cela peut être temporaire ou apparemment ce peut être de longue durée.

*Les médecins et les vétérinaires holistiques savent ceci depuis au moins 100 ans.

Ils parlent d’un large éventail de maladies inflammatoires ou maladies qui surviennent peu de temps après un épisode vaccinal. Après un vaccin, en fait, de nombreuses personnes plongent dans un état allergique. Encore une fois, il s’agit d’un trouble qui peut être bénin tout au long de la vie puis tout à coup fatal. Le choc anaphylactique est l’aboutissement : c’est le moment où une personne a une réaction massive allergique à un vaccin et meurt en quelques minutes si l’adrénaline ou son équivalent n’est pas administré.

Il y a des individus qui sont génétiquement moins bien placés pour résister à la provocation par le vaccin. Ce sont les gens (et « animaux » êtres vivants doués de sensibilité) qui ont hérité de fonctions cellulaires B & T défectueuses. Les Cellules B et T sont des composants du système immunitaire qui permettent d’identifier les envahisseurs étrangers et de les détruire, et tenir l’envahisseur en mémoire afin qu’ils ne puissent causer des dommages futurs. Toutefois, lorsque les réactions inflammatoires sont concernées, le système immunitaire réagit de manière excessive et provoque des effets indésirables tels que les allergies et autres maladies inflammatoires.

Merck nous met en garde dans son manuel par rapport aux patients atteints, ou issus de familles avec une immunodéficience en cellules B et/ou T qui ne doivent pas recevoir des vaccins à virus vivants à cause du risque d’infection grave ou mortelle. Ailleurs, il répertorie des fonctionnalités affectées par un déficit immunitaires en cellulles B & T telles que les allergies alimentaires, allergies respiratoires, eczéma, dermatite, une détérioration neurologique et les maladies cardiaques. Pour traduire, les personnes atteintes de ces conditions peuvent mourir si elles reçoivent des vaccins à virus vivants. Leur système immunitaire n’est simplement pas assez compétent pour garantir une saine réaction à l’agression virale des vaccins à virus vivants modifiés.

Les vaccins à virus vivant modifié (MLV) se répliquent chez le patient jusqu’à ce qu’une réponse immunitaire soit provoquée. Si une défense n’est pas stimulée, alors le vaccin continue à se reproduire jusqu’à ce qu’il donne au patient la maladie même qu’il avait l’intention de prévenir.

Une nouvelle théorie, tombée grâce à Gary Smith, étudiant de l’Université Open, explique ce que les praticiens holistiques ont dit depuis très longtemps. Voici ce que quelques-uns des vétérinaires holistiques ont dit au sujet de leurs patients :

Dr Jean Dodds : « Beaucoup de vétérinaires relient les problèmes actuels avec des maladies allergiques et immunologiques à l’introduction de vaccins vivants atténués … »

Christina Chambreau, DVM : « les vaccinations de routine sont probablement la pire chose que nous faisons pour nos animaux Elles provoquent toutes sortes de maladies, mais pas directement, ce qui nous permettrait de conclure absolument qu’elles sont causées par le vaccin. »

Martin Goldstein, DVM : «Je pense que les vaccins … sont les plus meurtriers de chiens et de chats en Amérique aujourd’hui. »

Dr Charles E. Loops, DVM : « les vétérinaires homéopathiques et d’autres praticiens holistiques ont maintenu pendant un certain temps que les vaccinations faisaient plus de mal que ce qu’ils offraient comme avantages. »

Mike Kohn, DVM : « . En réponse à cette violation [vaccin], il y a eu une augmentation des maladies auto-immunes (les allergies étant un composant), épilepsie, néoplasie [tumeurs], ainsi que des problèmes de comportement chez les petits animaux »

Une théorie sur l’inflammation !

Gary Smith explique ce que les praticiens de soins de santé attentifs disent depuis très longtemps, mais peut-être qu’ils n’ont pas compris pourquoi leurs observations les ont amené à le dire. Certains pensent que sa théorie pourrait conduire à la guérison de nombreuses maladies dont le cancer. Pour moi, il explique pourquoi le processus vaccinal est intrinsèquement douteux.

« Le cancer a été décrit comme la plaie qui ne guérit jamais », dit-il. « Tous les succès des cancers sont entourés par une inflammation. Communément ceci est pensé pour être la réaction du corps pour tenter de lutter contre le cancer, mais ce n’est pas le cas. »

« L’inflammation n’est pas le corps en essayant de combattre l’infection. Il est en fait le virus ou la bactérie qui cause une inflammation délibérément afin de se dissimuler au système immunitaire. »

Si Gary a raison, alors le processus inflammatoire si souvent stimulé par les vaccins n’est pas, comme assumé par le passé, un signe forcément acceptable. Au lieu de cela, il pourrait être un signe que la composante virale ou bactérienne, ou l’adjuvant qui, contenant des protéines étrangères, est considéré comme un envahisseur par le système immunitaire, dans le vaccin est de gagner à la dérobée.

Si Gary a raison de croire que la réponse inflammatoire n’est pas un signe de protection, mais que l’invasion a lieu sous le couvert de l’obscurité, les vaccins ne sont certainement pas les amis que nous pensions qu’ils étaient. Ils sont des assassins travaillant pour le compte d’infiltration de l’ennemi, et les vétérinaires et les médecins sont involontairement agissants en tant que collaborateurs. Pire, les tuteurs et les parents des animaux que nous sommes en train de payer les médecins et les vétérinaires à leur insu voir de trahir nos proches.

Le système immunitaire des chiens et des chats est en pleine maturité à six mois. Si un vaccin à virus vivant modifié est donné après l’âge de six mois, il produit une immunité, ce qui est bon pour la vie de l’animal. Si un autre vaccin à virus vivant atténué est donné un an plus tard, les anticorps à partir du premier vaccin neutralisent les antigènes du second vaccin et il n’y a peu ou aucun effet. Le système n’est pas « boosté « , ou il n’y a pas plus de cellules à mémoire induite.

Non seulement les rappels annuels sont inutiles, mais ils soumettent l’animal à des risques potentiels, tels que des réactions allergiques et anémie hémolytique immunitaire.

En langage clair, les écoles vétérinaires en Amérique, plus « l’American Veterinary Medical Association », ont examiné des études pour voir combien de temps les vaccins durent et ils ont conclu et annoncé que la vaccination annuelle n’est pas nécessaire.

En outre, ils ont reconnu que les vaccins ne sont pas sans danger. Dr Ron Schultz, chef de pathobiologie à l’Université du Wisconsin, l’a dit poliment à ses collègues vétérinaires depuis les années 1980. J’ai été le dire pour les 12 dernières années. Mais le changement est si long à venir et, dans l’intervalle, des centaines de milliers d’animaux meurent chaque année  inutilement.

Certains d’entre nous, moi y compris, ont choisi de ne pas vacciner nos animaux de compagnie du tout. Notre récompense est des chiens en bonne santé et avec longue vie.

Vous donner ces bonnes et simples nouvelles n’aura pris qu’un seul paragraphe. La gratitude que je ressens chaque jour, quand j’embrasse mon chiens en bonne santé, s’étend du centre de la Terre à l’Univers et au-delà. [Catherine O’Driscol ]

La sécurité des vaccins (?)

Une étiologie possible de maladies auto-immunes par : William R. La Rosa, M.D. (fiduciaire)

1. Ces études semblent confirmer les conclusions de certains éleveurs que les vaccinations multiples peuvent être nocifs pour les chiens. Soyez prudent, se tenir au courant dans la littérature scientifique.

2. Les vaccins actuels induisent les auto-anticorps. Les contaminants peuvent être une partie du problème.

3. Nous avons besoin de faire des recherches et expliquer le mécanisme.  Pouvons-nous trouver le marqueur génétique pour éviter l’effet indésirable de la vaccination ?

4. Le chien est un bon modèle pour l’étude parce que certaines races différentes ont déjà la susceptibilité à des maladies spécifiques et des marqueurs génétiques seront plus faciles à trouver que dans d’autres animaux divers de même que les humains.

5. Quelle est la solution ou la guérison, et surtout comment est-ce applicable à l’homme ?

6. La plupart des vaccins actuels sont efficaces dans la prévention de la maladie, mais ils peuvent être administrés plus fréquemment que ce qui est réellement nécessaire.

Source

VACCINATION  ANNUELLE DES ANIMAUX DE COMPAGNIE !

Y a-t-il réellement nécessité d’une vaccination annuelle chez le chien et le chat ?

A chacun de se faire sa propre opinion à condition qu’il ait en main tous les éléments lui permettant d’y réfléchir sérieusement.

Dossier DOGSTORY 

Effets Nocifs 1 –http://les.amis.de.lancelot.jed.st/vaccin_effetsnocifs1.pdf

Effets Nocifs 2 –http://les.amis.de.lancelot.jed.st/vaccin_effetsnocifs2.pdf

Effets Nocifs 3 –http://les.amis.de.lancelot.jed.st/vaccin_effetsnocifs3.pdf

D’autres sources :

La vaccination des animaux par le Dr Charles Danten :

http://www.ani-food.com/fichiers/vaccination_animaux.pdf

La vaccination en santé animale :

http://www.naturopattes.eu/wa_files/vaccinationsanteanimalepositionnaturovet.pdf

Protocoles de vaccination chez les chiens et chats aux USA :

http://les.amis.de.lancelot.jed.st/protocoles_vaccins.pdf

 

Le secret qui se cache derrière la vaccination !

Première partie (1/3)

Les Faits !

Presque sans exception, il n’y a aucune exigence immunologique pour faire revacciner annuellement un chien, comme pour ce qui est de la vaccination humaine pour la grippe. L’immunité aux virus persiste pour des années ou même pour la vie de l’animal. Une vaccination réussie à la plupart des agents bactériens pathogènes, produira une mémoire immunologique qui durera des années. Ceci permettra à l’animal de développer un système de protection (secondaire) qui répondra quand il sera exposé aux organismes virulents.

 

Le dilemme fondamental !

Le dilemme fondamental est que cette vaccination répétée a aussi comme effet d’affaiblir les gènes d’une population donnée et donc sa santé. Ce qui amène à ce que sans cette vaccination, les individus qui sont naturellement faibles tomberaient malades et mouraient. La maladie comme telle, est un moyen naturel qui set à « assainir » et donc fortifier une population donnée. Cela représente une situation embarrassante pour l’étique vétérinaire.

(Nos descendants autochtones ou aborigènes, avaient compris que de laisser mourir les individus faibles étaient non seulement nécessaire mais aussi adéquat).

Cependant dans nos sociétés (humanisées) le droit de vie de chaque individu est pris pour acquis et par conséquent, nous faisons des efforts pour sauver tous les individus. Mais toutes les réponses à cette question naturellement mensongères de l’individualité sont en elles-mêmes très compliquées.

Les vétérinaires sont donc en face d’un grand défi quand arrive le temps de négocier avec les maladies aiguës. Est-ce que les vaccinations peuvent prévenir ces maladies aiguës ? Si l’échange est pour une vie de maladie chronique, est-ce donc une option viable ?

La toux chronique par exemple, qui est communément appelée « la toux de chenil », est la maladie du Parvovirus qui affecte les intestins et produit de la diarrhée sévère et des vomissements jusqu’au sang. En outre la fréquence de la maladie de l’intestin provocatrice chez les chiens paraît être en augmentation depuis 2002. La vaccination pour le Parvovirus Canin est effective depuis une quinzaine d’années, ce qui contraste avec l’histoire beaucoup plus longue de la vaccination du Parvovirus Félin. Ce portrait annonce donc un futur effrayant pour les chiens si le rapport est exact.

En premier lieu, il faut vous souvenir que les doses à répétition des vaccins sont inutiles. Nous pourrions arrêter toute la vaccination après une année d’âge de l’animal pour virtuellement toutes les maladies.

Deuxièmement : Tous les vaccins devraient être administrés comme antigènes seuls. (Un antigène est une substance étrangère à l’organisme, susceptible de déclencher une réaction immunitaire en provoquant la formation d’anticorps : dans ce cas, un organisme viral ou bactérien pour lequel le vaccin est produit).

L’exposition naturelle aux maladies devraient donc se faire une à la fois et non pas toute en même temps! Le corps est plus enclin à répondre à seulement un antigène et à produire l’immunité sans effets adverses, plutôt que de répondre à un complexe mélange d’antigènes. Par conséquent, plutôt que donner un groupe d’antigènes par groupe de trois ou quatre dans la même visite, les composants individuels devraient être donnés ou utilisés sur un programme alternant avec un minimum de répétition.

Troisièmement Seulement faire une vaccination pour les animaux qui rencontrent un des quatre critères suivants :

1. Lorsque la maladie est sérieuse et menace la vie de l’animal   

2. L’animal est ou sera exposé à la maladie.

3. Le vaccin pour la maladie est connu pour être très efficace

4. Le vaccin pour la maladie est considéré comme étant vraiment sans danger.

Beaucoup de vétérinaires recommandent d’immuniser les chats d’intérieurs contre la Leucémie Féline. Plusieurs vétérinaires aussi considèrent cela comme étant IMMORAL. Cette maladie ne fait pas partie des critères précédents. La vaccination est donc injustifiée dans la plupart des cas. Certains vaccins ont été trouvés généralement inefficaces et produisent des effets secondaires sévères.

Chez les chiens, le virus de l’hépatite Canine est presque inexistant. La Leptospirose est aussi extrêmement rare et souvent de sérodiagnostic différents, qui sont utilisés dans le vaccin.

La maladie de la toux de chenil n’est pas généralement sérieuse (critère 1) et une étude a montré que l’immunisation par vaccin pourrait être contre-productive, inefficace ou de résultat égal si non-vacciné.

 

Ce que chaque propriétaire d’animaux devrait savoir !!!

Même si les vaccinations ont aidé à extirper ou réduire la fréquence de la maladie sévère, aiguë qui s’est développée, le résultat a été de persécuter l’humanité avec des maladies plus insidieuses, chroniques qui sont beaucoup plus difficiles à traiter. Ce qui a pour effet de diminuer la qualité de vie de beaucoup d’animaux domestiques et de personnes.

La meilleure façon de maintenir une bonne santé est de les nourrir de nourriture fraîche, viandes pour les carnivores et éviter des vaccinations et des médicaments allopathiques.

Antibiotiques et autres drogues allopathiques ne devraient être utilisées que dans des situations ou leur usage est seulement clairement indiqué et ce ne devrait être que dans des situations potentiellement dangereuses pour leur vie.

Chaque fois que vous supprimez un symptôme que le corps produit, vous diminuez l’état de santé du système immunitaire.

Deuxième partie (2/3)

Si vous avez un chien ou un chat ! Les experts prétendent que la vaccination annuelle en plus d’être un gaspillage d’argent est risquée. Ce que beaucoup de propriétaires d’animaux de compagnie ne savent pas, disent les chercheurs, est que, ces vaccins annuels pour chiens et chats sont un gaspillage d’argent et deviennent potentiellement un danger mortel.

L’efficacité de ces vaccins pour les maladies dont ils sont administrés, ont un impact de trois à quatre années, ou même plus, et les vaccinations annuelles ont exposées vos animaux à plus de problèmes de maladies apparentés à ces vaccinations.

Le Département de la Santé du Texas tiens des auditions publiques pour considérer de changer la vaccination annuelle pour une fois aux trois ou quatre ans. Trente-trois autres états ont déjà adopté un programme pour la « rage » à chaque trois ans. Les Universités vétérinaires du Texas enseignent maintenant que la plupart des vaccins devraient être donnés au chaque trois ans seulement.  « Les vétérinaires chargent aux clients $36 millions de dollars annuellement pour des vaccinations qui ne sont pas nécessaires, non seulement ces vaccins sont inutiles, mais en plus ils causent d’énorme dommages à nos animaux de compagnies. »

Ces nouvelles ont été lentes avant d’atteindre les consommateurs, ceci est en partie dû à ce que peu de vétérinaires à l’extérieur des institutions académiques embrassent le concept.

Les concepteurs pharmaceutiques de vaccin n’ont pas fait les études, donc n’ont pas changé les étiquettes sur les fioles de vaccin. Un vétérinaire qui charge $30 à $60 pour les vaccins annuels, est peu disposé à défier les directives de l’étiquette du vaccin puisqu’il risque de perdre une source importante de revenu. De plus, ils s’inquiètent aussi que leurs patients ne se présentent pas à leur examens annuels $$$ s’ils n’ont plus la raison obligatoire de faire vacciner leur animal.

Le mouvement vétérinaire pour augmenter l’intervalle entre les vaccinations, gagne du terrain dû à l’évidence croissante que les vaccins eux-mêmes peuvent déclencher un cancer fatal chez les chats et/ou un désordre mortel sanguin chez les chiens.

Le Parvovirus qui tue les chiens de façon horrible et rapide en causant une prolifération toxique des bactéries dans le système digestif, a été vaincu avec un vaccin. Aux cours des ans, de plus en plus de vaccinations ont été ajoutées au programme, pour prévenir la dispendieuse et potentiellement maladie mortel chez les membres Canins et Félins.

 

Cependant les vétérinaires ont commencé à remarquer quelque chose de menaçant :

Des exemples rares de cancer chez des chats normaux et sains et une réaction immunitaire exceptionnelle chez les chiens. Les vaccins ont apparemment causé  « le fibrosarcome félin », une tumeur grotesque à l’emplacement de l’injection du vaccin, qui est fatale, si elle n’est pas découverte tôt et complètement enlevée.

Les chiens eux ont développé une maladie aussi apparentées aux vaccins, qui provoque dans le corps de l’animal, le rejet de son propre sang.

« Ce qui a amené les gens à se poser de plus en plus de questions. »

Si nous pouvons causer ce genre de mal avec un vaccin … Est-ce possible que nous vaccinons trop ?

Si vous augmentez la quantité de vaccins à injecter, la possibilité qu’un vaccin cause une augmentation de résultats néfastes, peut donc augmenter en proportion de celle-ci. Les autorités Fédérales exigent que les fabricants de vaccins démontrent seulement qu’un vaccin est efficace.

Il n’y a aucune exigence Fédérale pour démontrer la durée d’efficacité maximum d’un vaccin.

Handy Zislin, un vétérinaire du Centre de Santé Animal de Fort Dodge aux États-Unis, un des plus grand fabriquant de vaccins animal au monde, dit qu’une telle étude serait très dispendieuse à produire et serait inhumaine puisqu’elle exigerait des centaines d’animaux, dont plusieurs devraient être gardés en isolement pour une période allant jusqu’à cinq années. Cependant il ne spécifie pas combien de milliers d’animaux son morts en laboratoires pour la mise au point de ces mêmes vaccins avec lesquels la compagnie fait des milliards annuellement.

Mais heureusement un nombre croissant de vétérinaires mettent l’accent sur d’autres services, tel que la chirurgie et la médecine holistique animal (La médecine holistique est une pratique visant à traiter la personne de façon globale « le corps et l’esprit » et non pas seulement la partie affectée par les symptômes.). Le Dr Wolf pense que si les gens économisent sur le prix d’une vaccination, ils seront plus enclin à faire faire un détartrage des dents de leur animal ou autre service tel que, la coupe de griffe et le vidage des glandes anales.

« Je pense qu’il y a définitivement une question de profit là-dedans ; ne me comprenez pas mal ». dit le Dr Wilkie d’Allemagne.

Les gens sont disposés à dépenser de l’argent sur leurs animaux familiers pour le traitement de leurs maladies. Bien que les vaccins soient une partie du profit, ils ne représentent pas la plus grosse partie.

Nous venons juste de faire une chirurgie de genou sur un chien, qui vient de coûter $700 à son propriétaire… Les recherches vétérinaires confrontent la notion que vos animaux de compagnies ont besoin d’être vacciné tous les 12 mois.

Quelques liens :

Lien 1 – Lien 2 

 

Dernière et Troisième partie (3/3)

Lisez les commentaires de vétérinaires qui croient que les vaccins endommagent vos animaux familiers.

Le plus récent, un article qui a paru dans le Journal of the American Veterinary Medical Association intitulée « Est-ce que nous vaccinons trop ? »

Dr. Richard Pitcairn D.M.V et Ph.d : « Pour plusieurs de mes collègues, la vaccination est tout, excepté quelques chose de merveilleux et que cela peut à la limite sauver des vies, qui arrive comme une surprise. Idée, qui vous le conviendrez, n’est pas vraiment agréable en soi. Après tout, la population générale décrit les vaccins comme une médecine moderne, étant ce qu’il y a de mieux, et qui peut sauver des millions de vies comme ce fut le cas lors du fléau de la Polio et de la Petite vérole. » Les allergies de peau et réactions allergiques, ont été associées à l’administration de vaccins. Un nombre phénoménal de chiens et de chats, ont aujourd’hui des problèmes de peau.

D’autres maladies sont aussi reliées à l’administration de vaccination ou en sont suspectées ; L’épilepsie et les désordres thyroïdiens. Ces effets adverses peuvent heureusement être enrayés grâce à l’homéopathie.

Dr. McCluggage DMV couvre aussi la perspective holistique des médecines douce sur les vaccinations. Il a affirmé que « nous devons arrêter de préconiser des vaccins annuels à cause du mal que nous faisons aux animaux en leur inoculant ces vaccins. » Il a suggéré le concept homéopathique de « La lois du semblable »

 

Est-ce vraiment sans danger et efficace ?

L’établissement médical a convaincu les gens que l’inoculation de vaccin en masse, est pour le bien de tous, oblitérant ainsi la santé de tout individu…

1. Pourquoi détruire le système immunitaire de vos chiens, chats et autres ?

2. Pourquoi utiliser des Antibiotiques qui peuvent causer d’autres dommages, quelques fois irréversibles ?

3. Pourquoi accepter de laisser souffrir ainsi vos animaux familiers ?

4. Pourquoi utiliser des anti-inflammatoires chimiques, pour soulager la douleur quand il y a plusieurs alternatives avec des produits naturels et sans danger ?

Plusieurs bons vétérinaires recommandent de plus en plus, d’utiliser l’homéopathie pour diminuer les effets secondaires de la vaccination.

« Après 10 années de pratique vétérinaire, j’en suis devenu fatigué de n’avoir aucun traitement valable pour les maladies chroniques, et autres pléiades de maladies allergènes qui semblent persécuter de plus en plus de confrères en Cliniques. J’ai été frustré avec la cortisone que je donnais aux animaux parce que je n’avais pas d’autres alternatives ou que d’utiliser des antibiotiques pour des infections dont, je savais, quelles étaient d’origines virales. Il y a tellement de choses qui peuvent être fait pour un animal qui souffre, que ce soit un oiseau, reptile ou autres, en utilisant les médecines douces ou dites naturelle. » Dr Charles E Loops D.M.V. Finalement, un commentaire au sujet de la vaccination, et faire des choix.

Bien que le concept de posséder un animal en est un avec lequel nous sommes inconfortables, il faut reconnaître ici, qu’il faut aussi envisager le problème du côté légal du rapport humain/animal. Autrement, il pourrait être dit que nous sommes tout simplement les gardiens de nos animaux de compagnie. Dans cet ordre d’idées, le choix face à la vaccination repose sur nous, qui avons accepté la responsabilité de cet être vivant, et donc le choix qui vient avec.

Ce que vous pouvez maintenant faire quand votre animal est malade !

Il y a une meilleure façon d’apporter la santé à votre animal domestique et de le garder sain longtemps…

La médecine holistique vétérinaire, entreprends de rendre votre animal familier aussi sain que possible et à lui refaire un système immunitaire fort, toujours bien sûr selon sa génétique d’origine, et à développer graduellement leur corps pour s’adapter à une nourriture saine pour eux. Bilan de santé complet avec fiche de suivi, produits personnalisés en fonction du terrain de l’animal, de l’homéopathie, phytothérapie, gemmothérapie, organothérapie, aliments thérapeutiques et plus …

J’espère que ce rapport a pu vous en apprendre plus sur les problèmes causés dans certains cas par la vaccination. De mon coté si j’ai eu l’aptitude de vous le présenter, j’ai aussi la responsabilité morale de ne pas vous laissez à vous-même et de vous offrir cette solution ci-dessus mentionnée. [ Dominick Lanoue ]

Rapport sur la Vaccination –  conclusion

J’ai pensé que plusieurs d’entre vous qui ont lu le rapport sur la vaccination ou qui sont encore septiques seront intéressés par ceci.

(J’ai tendance à croire les remarques qui vont suivre. Ayant moi même un chat et un chien qui ont déjà été affectés par les vaccinations répétitives. Le commentaire de mon vétérinaire fût : plus de vaccin sauf celui obligatoire de la rage !. )

*Depuis quelques temps maintenant, certains vétérinaires soutiennent que les chiens N’ONT PAS BESOIN de vaccinations pour chaque maladie, exception faite pour celle de la rage, question de réglementation.  Les vaccins, affaiblissent et endommagent le système immunitaire.  Ces vaccinations causent toutes sortes de problèmes de santé tel qu’allergies, problèmes de peau, tumeurs, et cela sans arrêt.

« Sommes-nous entrain de tuer nos animaux avec la survaccination »?

 Voici en résumé le contenu de ce rapport :

L’article indique qu’il est de plus en plus évident que de construire le système immunitaire par la vaccination annuelle des chiens et pour les maladies telle la rage, parvovirus et autres ne sont pas nécessaires et deviennent même dangereuses pour nos animaux.

Des études récentes et continues, faites dans plusieurs universités, suggèrent que l’immunisation aux virus par la vaccination annuelle est un gaspillage d’argent puisque l’effet dure plusieurs années et qu’en bout de ligne cela se résume par un gaspillage d’argent. Tiens donc ! Il me semble avoir lu ça quelque part.

Le Dr. Larry Glickman de Université Vétérinaire Purdue au états unis et ses collègues  dit que de vacciner les chiens à répétition leur fait produire des anticorps contre leur propre grès. Il en résulte alors des problèmes d’auto-immunisation.

Dans une annonce publique très politisée l’année dernière, L’association médical des vétérinaires américain a reconnu que les pratiques de la vaccination annuelle  étaient basées sur des « précédents historiques » et non pas sur  « des données scientifiques ». ‘

Que pensez-vous maintenant de cette citation du  « Dr. Ronald Schultz, Président de l’Université du Wisconsin attaché au département des Sciences Pathobiologique qui dit : « Mes propres animaux familiers sont  vacciné quand ils sont chiots et chatons une fois ou deux, et ensuite plus jamais à l’exception de celui de la rage ». Notez qu’il s’agit ici d’un homme, qui sait sûrement de quoi il parle et qui a vu et fait, des centaines et des centaines de nécropsies.

Lisez maintenant celle-ci. ‘ Pfffizer, Inc. (une méga compagnie pharmaceutique) a décidé de tester son vaccin contre la rage sur des animaux vivants supposément pour un an. Devinez ce qu’ils ont découvert ? L’immunisation est efficace pour un période de trois ans !. Tiens donc ! Il me semble avoir déjà lu celle-là aussi.

Ils ont donc décidé de vendre la même formule simplement sous des étiquettes différentes.  L’une, d’une année et l’autre efficace pour 3 ans de façon à se conformer à la réglementation des différents états américain.

Alors, que pensez-vous de toutes ces expérimentations faites sur le dos de votre chien bien-aimé ?

Il est temps que les gens se réveillent !!

Et tous ces bureaucrates de l’autre cotés qui disent que les herbes naturelles de Mère nature sont néfastes !!

Ils vous prennent vraiment pour des imbéciles…

Si votre animal familier a un système immunitaire fort, alors il n’y a virtuellement rien contre lesquel son corps ne peut lutter. Nourrissez-le avec de l’excellente nourriture de base naturelle et augmentez les traces de minéraux dans son système. Les  infections bactériennes et virales, y compris le Virus du Nil et la maladie de Lyme, n’y résisteront même pas.

Il y a quand même des occasions où un chien, va avoir besoin aide, pour combattre une bactérie ou un problème viral.  Pour ceux-ci et tout les autres problèmes, nous vous suggérons seulement des herbes et ingrédients naturels de mère nature, que de plus en plus de vétérinaires offrent.

Est-ce que ces produits naturels travaillent ?  Si vous avez la bonne qualité de remède et si  vous le croyez, êtes appliqué et sérieux face au retour à la santé de votre chien, oui cela va fonctionner. Si vous êtes responsable, dans l’attention que vous portez à votre meilleur ami .

Pour éviter les troubles physiques, mais aussi le stress, il est important que nos chiens et nos chats puissent s’adapter à un environnement souvent bien éloigné de leur territoire naturel (chats, chiens, mais aussi lapins et petits rongeurs, oiseux ou reptiles). En dehors de cet environnement, ils développent les mêmes troubles que les êtres humains : stress, maladies, déprimes…

Tous les animaux malades, quelle que soit leur pathologie, peuvent bénéficier d’un protocole d’accompagnement en médecines naturelles, lequel peut être proposé seul ou en complément d’un traitement allopathique. Ainsi l’homéopathie peut tout à fait cohabiter avec des antibiotiques, et la plupart des plantes médicinales utilisées en phytothérapie chez le chien et le chat également. Ces remèdes vont agir sur le processus bactérien (multiplication par exemple) et l’homéopathie agira sur l’animal affaibli, malade, en stimulant sa vitalité et en permettant à nouveau à son immunité d’être rétablie.

Tous les animaux sont réceptifs aux médecines naturelles = chiens et chats, mais aussi lapins, tous petits rongeurs, chevaux, ânes, moutons, chèvres, les oiseaux, les poissons, et bien entendu vaches, déjà traitées avec les thérapies naturelles dans les élevages répondant aux normes biologiques.

En fait, cependant, dans la réalité, les principales demandes de soutien en médecines naturelles chez le chien ou le chat concernent des maladies où l’allopathie est déficiente, à savoir  :

Toutes les maladies de peau, qu’elles soient ou non parasitaires, qu’elles soient ou non prurigineuses = dermites, dermatoses, démodécie, pyodermite, eczéma félin, teigne, dépilations des rongeurs et furets, abcès, ulcères, alopécies etc.

Les enseignements issus des médecines naturelles nous permettent de recréer un milieu adapté à leur épanouissement et jouent un rôle important dans la prévention.

Chez le chien ou le chat senior, vieillissant = Chez les animaux âgés, l’homéopathie accompagne le plus souvent l’allopathie. Par exemple le vieux chien tousseur atteint d’une cardiopathie irréversible recevra un traitement allopathique pour aider son cœur et un traitement homéopathique (qui tiendra compte de sa cardiopathie et de son traitement médicamenteux) pour améliorer sa fonction musculo-squelettique ou ostéo-articulaire. Le vieux chien déprimé retrouvera par un traitement homéopathique une qualité de vie compatible avec celle de sa famille, sans avoir les effets indésirables ou les réactions secondaires des antidépresseurs ou anxiolytiques. Les vieux chats diabétiques seront fort aidés par un soutien en homéopathie, lequel permettra souvent un traitement plus confortable pour l’animal. Chez le cheval ou l’âne, homéopathie et phytothérapie permettent une vie confortable où la motricité est préservée plus longtemps, soulageant efficacement les douleurs des rhumatismes ou de l’arthrose.

De nombreux autres troubles ou maladies répondent favorablement à l’association homéopathie/phytothérapie ou à une de ces deux médecines naturelles seule. Pour n’en citer qu’une liste non exhaustive, voici quelques-unes des maladies pour lesquelles sont le plus consultés les praticiens de santé en médecines naturelles spécialisés chiens et chats :

-Troubles ORL (yeux, oreilles, respiration, lèvres et gueule)

-Troubles de la sphère urinaire (cystites, urétrites, pyélonéphrites)

-Affections ostéo-articulaires

-Maladies de peau, troubles dermatologiques

-Syndromes allergiques

-Troubles gynécologiques (vulvite, vaginite, métrite)

-Maladies digestives (vomissements, diarrhées, nausées, colites, rectocolites etc.)

-Aide à la mise-bas et soutien de l’allaitement, chez la chatte comme chez la chienne

-Infertilité chez la femelle

-Pathologies des glandes endocrines (surtout thyroïdiennes)

-Soutien de maladies du coeur ou des reins

-Soutien du diabète insulino-dépendant

-Complément des traitements contre les cancers : fibrosarcomes, tumeurs, cancers divers

-Maladies auto-immunes

-Renforcement des défenses immunitaires de l’animal senior

-Renforcement des défenses immunitaires du bébé trouvé/adopté (chiot, chaton)

-Drainages et détoxifications après traitement allopathique (pour nettoyer l’organisme du passage des médicaments chimiques et de leurs résidus dans les organes vitaux)

-Cures de santé/maintien en forme aux changements de saison

-Désintoxications aux métaux lourds

-Certaines maladies chroniques du système nerveux central telles que les épilepsies

-Certaines maladies complexes du système musculaire telles que la myasthénie

Compte-tenu du nombre fort étendu de remèdes homéopathiques disponibles en pharmacopée française (plus de 300), et du nombre intéressant de plantes médicinales pouvant être utilisées sans risque sur l’animal en phytothérapie, il est bien évident que la médecine non conventionnelle permet un choix immensément plus vaste et plus riche que l’allopathie.

De plus, les médecines naturelles sont un ensemble de thérapies particulièrement douées pour la prévention, ce que l’allopathie ne sait pas faire. Avec les médecines naturelles, il devient tout à fait normal de se mobiliser pour éviter la maladie. C’est le propre des médecines naturelles que de proposer régulièrement aux chiens, chats, des cures de santé/maintien en forme, de détoxifier habilement les organismes surchargés, ou de renforcer les défenses immunitaires à l’approche de l’hiver et au retour du printemps.

Ainsi, toute maladie animale, affection d’un chien, trouble d’un chat, peut être envisagée sous l’angle des médecines naturelles, soit comme alternative aux médicaments allopathiques, soit comme renforcement de leurs effets.

Source : http://www.dogstory.net/rapportconclusionfr.htm

Source :http://les.amis.de.lancelot.jed.st/vaccin_effetsnocifs3.pdf

Source :http://www.naturopattes.eu/quellesmaladiesmedecinenaturelle.html

ARTICLES COMPLÉMENTAIRES :

http://www.scribd.com/doc/49987035/Nexus-42-Jan-fev-2006-Vaccination-Complet

http://emmanuelleseve.unblog.fr/2006/07/03/rencontre-avec-un-repenti-article-copie-sur-internet/

http://www.naturopattes.eu/wa_files/vaccinationsanteanimalepositionnaturovet.pdf

PS : je vous conseille fortement pour les documents pdf de les enregistrer ;-)

SOURCE

Déjà que je ne suis pas pour la vaccination chez les humains, encore moins chez les animaux…Entendre parler les vétérinaires, ça prend des vaccins pour tout. c’est pire que le médecins avec nous. On voit bien que c’est encore une histoire de ca$$$h. Mes 17 chats n’ont jamais été vaccinés, j’en ai qui ont plus de 3 ans, ils sont presque toujours dehors, sauf les moins sauvages l’hiver par temps froid, et ils ne sont jamais tombés malade.

Merci Iza! :)